Thursday, May 01, 2008

LES FILTRES APOZORC

Nos filtres ont parties essentielles:
1 - la partie supérieure pour mettre de l'eau à purifier composée des filtres sub-microns.
2 - la partie inférieure pour receuillir de l'eau filtrée et potable avec un robinet.
N.B.: Il existe des trous de commutation sur le couvercle du sceau inférieur. nombre de filtres = nombre de trous.

NOS FILTRES A EAUX SUB-MICRONS

Il existe plusieurs sortes de filtres a eau sub-microns allant de 2 à 5 tubes et de 10 à 40 litres d'eau. voici quelques examples de filtres en vente. au fond un filtre prêt pour le transport.

Tuesday, April 15, 2008

LA FABRICATION DES FILTRES A EAU ECONOMIQUES




Malgré la présence de la société nationale des eaux du Cameroun (SNEC) concessionnaire depuis les années 1960 des installations de production et de la distribution de l’eau potable au Cameroun, les questions de disponibilité et de la qualité de l’eau au Cameroun se posent avec beaucoup d’acuité aujourd’hui plus qu’hier et sans doute davantage demain
En effet, qu’on se retrouve dans les centres urbains où en zones rurales, l’eau se fait de plus en plus rare et pire encore elle est de plus en plus impropre à la consommation.
La quasi-totalité des zones rurales n’est pas connecté au réseau de distribution de le SNEC. Les populations se contentent donc au mieux, de l’eau des puits, au pire de l’eau des rivières et des fleuves qu’elles boivent à l’état.
Les populations urbaines quant à elles même lorsqu’elles bénéficient des eaux des robinets ne sont pas mieux loties. A Douala, Yaoundé et Bafoussam par exemple, les trois principales métropoles du Cameroun. L’eau est rationnée quartier par quartier. Les hôtels les plus fréquentés sont ceux qui ont pu trouver un système de mise en disposition permanente de l’eau à ses clients.
Et finalement lorsqu’elle et disponible dans les robinets, l’eau constitue souvent un danger. La récente épidémie de choléra à Douala (principale ville et capitale économique du pays qui compte environs 2 millions d’habitants) trouve son origine dans la qualité de l’eau mise à la disposition des populations. A Yaoundé et à Douala, la classe moyenne de la population et de la quasi-totalité des expatriés se sont carrément mis à l’eau minérale pour éviter les fièvres et diverses maladies dont l’eau du robinet serait à l’origine.
Au total, la problématique rapidement décrite ci-dessus – l’indisponibilité sur la quasi-totalité du territoire camerounais d’une eau constante et propre à la consommation est particulièrement préoccupante loin s’en faut.
Cette problématique est au cœur de notre projet sur « L’eau potable »
Apozorc a mis sur pied un système de filtration d'eau très économique avec des filtres sub-micron à la disposition des couches vulnérables depuis l'année passée.

La technologie consiste à fabriquer des filtres d’eau avec des filtres sub-microns.
Nous achetons des filtres d'origines Européenne et/ou Asiatique Nous achetons des sceaux plastiques et des robinets.
Un système de filtre est composé de deux sceaux plastiques transparents. Le sceau de dessus contient les filtres. Nous avons les systèmes de 2, 3, 4, et 5 filtres. Ces filtres ont pour rôle de recueillir les saletés et les impuretés de l’eau. Le nombre de filtres a utiliser est fonction de la quantité d'eau à consommer. plus il y a des filtres plus l'eau coule aussi rapidement.
Le deuxième sceau du bas sert à recueillir de l’eau potable libérée de toutes ses impuretés et prête à la consommation. APOZORC l’a inventé pour permettre aux personnes défavorisées de pouvoir boire aussi de l’eau potable dans les villes comme dans les campagnes. Cette méthode est vraiment bon prix ce qui fait que la majorité de la population est capable de se le fournir.
Le coût d'un filtre varie de 7.000 F CFA à 25.000 F CFA suivant le nombre de filtre utilisé et la capacité des sceaux.
Le sécrétariat

Thursday, May 04, 2006

Joindre l’utile à l’agréable


A Douala, les travaux s’accélèrent au sein de l’association des intimes KUICHWE NTIEM. Les membres de cette association ont préféré joindre l’utile à l’agréable. Au lieu de dispenser leur week-end dans les stades football et les lieux de sport pour le dégraissage, ils préfèrent maintenant dépenser leur temps libre surtout les samedis et dimanches dans leur plantation de près de 3 hectares accompagnés de leurs enfants et épouses.
Cette plantation est l’œuvre d’une collecte par les membres de l’association d’une somme d’argent qui leur a permis d’acheter. Ceci a été une bonne initiative parce que pendant le déboisement, toutes les familles de cette association se procure le bois qu’elles utilisent pour la préparation des nourritures difficiles et les permet à cet effet d’économiser le gaz de ménage qui devient de plus en plus très chère. A la fin du déboisement, chaque membre aura amorti de loin les dépenses mises à l’achat de cette plantation.
Cette association regroupe près de 26 membres et la plantation est divisée par leur nombre et chaque membre se retrouve avec plus de 1000 m² de terre à exploiter.
Dans un premier temps cette surface servira pour les cultures et l’élevage et pendant que la ville s’avancera vers là, l’association aura le choix entre faire une cité des membres ou créer une école pour les habitants de la place et pendant ce temps ils auront eu la possibilité d’en acquérir d’autre un peu plus loin, dit le président. Idée géniale. N’est pas ? les terres coûtent bon prix lorsqu’ils sont inaccessible et prend de la valeurs avec du temps lorsque la ville grandit et se rapproche. Mais pour l’instant et pendant le bornage et la procédure d’obtention du titre foncier, nous occuperons le terrain par les travaux d’agriculture et d’élevage ajoute t’il.
Après le déboisement et le nettoyage, l’aide de l’APOZORC sera très utile pour nous. Nous aurons besoin de vos services. par exemple les cours d’agriculture et d’élevage, la fourniture des meilleurs espèces et surtout des conseils. C’est la raison pour laquelle nous nous sommes affiliés à APOZORC.
Cette plantation nous fait vivre le village en ville et cela nous permet de faire vivre à nos enfants de la ville la même vie que ceux du village, ajoute le trésorier de l’association.
Alphonse KAMTO AFRC

Où passe l’aide au développement?



L’aide au développement est un non-sens. On n’aide pas pour le développement. On développe ou on ne développe pas. Et on ne développe pas des individus au détriment des populations. Aucune aide au développement n’a profité à
ceux qui en avaient besoin, c’est-à-dire les populations. L’aide est détournée par des dirigeants politiques et leurs intermédiaires. La corruption qui gangrène les pays dits pauvres a atteint un tel niveau qu’elle est institutionnalisée,
donc banalisée. Et pour les populations, le constat est fatal.
L’aide au développement, si elle continue à se faire, doit se faire sur une base objective répondant aux besoins des bénéficiaires, avec des exigences d’application efficace et durable.
Financer des projets alibis pour les uns et les autres, annuler la dette ou ses services, c’est conforter tous ces assassins de leurs peuples dans l’impunité de leurs méfaits. Aider au développement, c’est condamner avec vigueur tous les dirigeants et responsables véreux qui détournent les fonds, les équipements, les médicaments, même les seringues que l’on retrouve en vente dans les marchés.
L’aide au développement doit être revue en termes de moralisation de la vie publique, d’exigences démocratiques, de bonne gouvernance, de contrôle, de sanctions appliquées.
Les bénéficiaires doivent être impliqués à chaque étape, de l’identification des besoins jusqu’à la réalisation des projets.
Les représentants des pays donateurs le savent pertinemment: tout ce qui a été fait n’a pas atteint les objectifs couchés sur des protocoles signés en grande pompe. L’aide au développement, c’est aider les gens à travailler et non travailler pour eux. Il est inadmissible de maintenir des peuples entiers dans le système D, pendant que les dirigeants et leur entourage s’enrichissent illicitement.
Pour aider au développement, il faut arrêter la corruption, les ventes d’armes et laisser les peuples décider de leurs destins.
Toutes les activités des organisations non gouvernementales ou des institutions onusiennes ne sont que des gouttes d’eau dans la mer, des gouttes d’eau polluée qui ne font qu’enfoncer les pays dans la pauvreté. Aussi bien les donateurs que les dirigeants corrompus, tous sont complices de la dégradation de la vie de ces populations.
L’aide au développement doit contribuer au développement durable. Et c’est pour cela qu’elle est un non-sens. Ni l’aide au développement ni l’annulation de la dette et de ses services ne sortiront les pays concernés de la pauvreté.
Tous ces dirigeants qui passent leur temps à mendier sont les principaux responsables de la misère de leurs peuples. Il faut que les peuples réagissent en se débarrassant de ces dirigeants et de leurs complices incompétents.
Les pays dits pauvres n’ont pas besoin d’aide. Ils ont besoin d’éducation, de santé, d’équité sociale. Développer les
pays pauvres, ce n’est pas les aider à construire des palais du peuple ou des congrès, à acheter des véhicules 4x4 climatisés, à importer les matériaux et les compétences. La plus grande partie du budget des projets passe dans des frais d’administration et des frais généraux, un véritable gouffre. Et sur le terrain, des projets sont abandonnés,
inachevés, bâclés. Les hôpitaux n’ont pas d’équipement adéquat, les écoles n’ont pas de classes, de bancs, d’enseignants qualifiés.
L’aide au développement, c’est laisser les populations décider elles-mêmes de leur développement.
Le développement n’est pas une recette. C’est un choix. L’aide au développement, c’est ne pas
aider du tout..
AKOUDOU FOE Sabine.
Présidente AFRC (Association des Femmes Rurales du Centre).

Thursday, March 30, 2006

Il est crucial d’investir dans la jeunesse


A gauche une jeune fille à la semance du haricot et en dessous des jeunes filles en ville exposées à la prostitution. la vie sans emploie est vraiment difficile, mais que faire? seulement le courrage. Le gouvernement devrait créer des strutures de formation et d'emploi pour ces jeunes qui se détruisent.
Environ 3,2 milliards d’êtres humains, soit 54 pour cent de la population mondiale, sont âgés de moins de 25 ans. Les Nations Unies définissent les jeunes comme le groupe d’âge allant de 15 à 25 ans, tandis que d’autres organisations incluent dans cette catégorie les individus âgés de 12 à 25 ans. Quelles sont les perspectives offertes aux jeunes? Les acteurs du développement tiennent-ils suffisamment compte de cette tranche d’âge dans leurs programmes et dans leur dialogue avec les gouvernements?
En politique de développement, les débats portent souvent sur les enfants, qui sont le groupe cible de nombreux projets. C’est fort bien. En revanche, on ne parle pratiquement pas des jeunes, ni comme groupe cible ni comme intervenants actifs.
Cela donne parfois l’impression que la pauvreté raccourcit cette période de la vie, que les enfants, obligés de travailler pour nourrir la famille, passent très vite à l’âge adulte. Dans de nombreux pays en développement, les centres urbains offrent très peu de possibilités d’acquérir une formation approfondie, de trouver un travail régulier et stable. La pression démographique renforce le sentiment de perplexité, soit parce que les places de formation manquent et que le marché du travail n’a pas la capacité d’absorber les personnes instruites, soit parce que l’évolution économique, la croissance et les revenus sont insuffisants. Dans les milieux du développement, nous ferions bien d’accorder une plus grande attention aux jeunes.
D’une part, nous devons les inclure davantage dans la conception du développement. D’autre part, il s’agit d’en faire plus fréquemment le groupe cible de nos programmes. Cela vaut pour tous les niveaux de l’éducation et de la formation professionnelle. En parallèle, il importe aussi de promouvoir un développement économique qui puisse assurer des emplois et des revenus aux jeunes travailleurs. Faute de progrès dans ce domaine, nous verrons s’accroître le chômage structurel et la pression migratoire. Ces deux phénomènes indésirables se produisent trop fréquemment. Ils peuvent conduire à la migration illégale, à la formation de ghettos et à des tensions sociales. Aucun
pays ne peut se permettre de voir une proportion excessive de ses jeunes privés de perspectives d’avenir.
Pourquoi cela arrive-t-il pourtant de plus en plus souvent? Les acteurs du développement doivent constamment se demander si leurs ressources sont utilisées de manière judicieuse. En accordant à un gouvernement une aide budgétaire, par exemple, on ne contribue guère à la création d’emplois. Il arrive aussi que les moyens financiers soient absorbés par des activités économiques improductives, au lieu de servir à apporter une plus-value.
Si nous voulons vraiment atténuer la pauvreté, nous devons créer des emplois et des revenus, préparer les jeunes à entrer dans le monde du travail, leur offrir une place dans la société et des perspectives d’avenir. À leur tour, ils traceront la voie de la prochaine génération. Investir dans la jeunesse,ce n’est pas seulement nécessaire mais crucial. En fait, on devrait automatiquement associer les jeunes à toutes les décisions portant sur l’avenir. Il reste beaucoup à faire dans ce domaine.

Sunday, March 26, 2006


les premi�res plantations de haricots des planteurs qui poss�dent des puits ou des cours d'eaux non loin pour l'irrigation de leur champs. ceux ci transportent les eaux dans les pousses-pousses pour de faibles et longues distances de la riviere la plus proche ou dans les puits pour l'irrigation des cultures. Posted by Picasa


cette maman de 80 ans dans la recolte des taros et macabos et la semance des haricots dans l'Ouest Cameroun. A cette periode juste apr�s la petite saison des pluies, les agriculteurs doivent pratiquer leus semances.APOZORC assiste les plus demunies dans leurs travaux. Posted by Picasa


Une villageoise, abandonn�e par son Mari et m�re de 5 enfants dans les traveaux de fabrication des b�tons de manioc pour la vente le jour du march� Posted by Picasa


la culture du Haricot dans un champ de banane/ Plantain apr�s la petite saison des pluies � l'Ouest Cameroun plus pr�cisement � Baham Posted by Picasa


un champ de 3 hectares a �t� achet�e sur l'axe lourd Douala-Yaound� � pr�s de 40 kilom�tres de la ville de douala pour une agriculture diverse. actuellement les membres pratiquent l'abattage des arbustes et le d�sherbages afin de lancer les travaux. Posted by Picasa

un champ de 3 hectares. les membres proc�dent � l'abattage des arbustes et le desherbage. Posted by Picasa


Emmanuel Kamgaing est l'administrateur D�l�gu� d'APOZORC et le Directeur G�n�ral de KAEM CAMEROUN Posted by Picasa

Association d'Appui aux Populations en Zones Rurales du Cameroun

Les domaines spécifiques d'intervention de APOZORC sont :
- Oeuvrer pour l'organisation et la structuration du secteur agricole et artisanal en monde rural. - Etablir et developper entre ses membres des liens de solidarité et d'entraide..
- Coordonner et intensifier les échanges de connaissances et d'expériences entre les personnes vivant dans le monde rural.
- Susciter et faciliter les relations entre le monde rural , les ONG et Institutions nationales et internationales.
- Developper le professionnalisme des membres par les formations techniques et professionnelles, le recyclage, le perfectionnement et le renforcement des capacités.
- Lutter efficacement en zones rurales et dans les petites communautés contre les Ist/vih/sida à travers des programmes éfficaces de prévention, de sensibilisation et des actions pour le changement des comportements .
- Faciliter aux ruraux l'accès à l'eau potable .